I have a dream that one day this nation will rise up, live out true meaning of its creed…” Un rêve partagé par Martin Luther King avec 25 000 personnes lors de la Marche de Washington, le 28 août 1963. Un rêve qui, progressivement, devient réalité même si, peu sont ceux qui y ont cru. C’est le propre des rêves, ils n’engagent que ceux qui y croient. Le rêve.
Cette projection spirituelle ou psychologique vers un idéal. « Idéal » un bien lourd mot qui n’empêche pas pour autant de rêver. Rêver comme pour avoir foi en soi, pour se convaincre au fin fond de son coeur que demain sera meilleur. Chose qui marche d’ailleurs. Entre loterie, sport, « success story » la vie est parsemée de personnes qui ont su croire en leur rêve.
Comme quoi, rêver peut aider à matérialiser. Seulement, il arrive que rêver ne se limite qu’à un fait, bercer d’illusions, surtout lorsqu’on n’y associe pas l’action. A dire qu’y croire ne suffit pas; un rêve implique toujours un don de soi. Un don de soi pour impulser de la force à ses rêves, pour vaincre les tueurs de rêves et se refaire une santé, galvanisé par la volonté d’avancer, même face aux rêves brisés.