Plusieurs femmes ont réussi là où les hommes ont donné le nez en terre. Tôt ou tard, la femme finit alors par être l’amie du monde. Quand Herbert Léonard avait chanté : «Femme, emportée par la tourmente, douce, romantique ou intrigante, nul ne sait rien de vos secrets, de vos désirs, de vos regrets», on imaginait déjà de quoi la femme est capable. On l’avait longtemps considérée comme une personne réduite.
Pourtant, en matière d’éducation, les études ont démontré que la femme vole très haut. Maman, avec ou sans diplôme, elle est déjà une enseignante hors échelle. D’ailleurs, certains disent que les meilleurs enseignants sont des femmes. Fillette, Dorothée Belibi Mballa Mebenga avait une grande passion dans la transmission du savoir. Elle s’était alors donné une discipline de vie pour atteindre ses objectifs. Titulaire du Diplôme d’études supérieures spécialisées en stratégie, défense, sécurité, gestion des conflits, major de sa promotion truffée d’hommes, la jeune dame n’a pas de complexe.
Comme Dorothée, plusieurs autres femmes réussissent là où les hommes ont donné le nez en terre. Elles ne sont plus seulement des maîtresses des écoles maternelles, d’ailleurs, les hommes dans cette catégorie sont impuissants. De nos jours, les femmes, on en rencontre au premier rang dans nos universités. Des agrégées qui rendent jaloux certains hommes. Si pour certains, ces parcours sont étranges et parfois brûlants, pour d’autres, la femme, dans l’eau trouble d’un regard, tôt ou tard, finit par être l’amie du monde.